L’accumulation des tâches non médicales et l’isolement contribuent au surmenage des médecines. Leurs marges ne sont pas celles des PME pour financer des collaborateurs pourtant les enjeux de gestion sont les mêmes. a deuxième journée du médecin commence souvent lorsque le dernier patient est parti. Dès lors, la masse administrative que constitue un cabinet ne cesse de s’alourdir et de peser sur la santé des médecin ce qui diminue leur disponibilité et leur capacité de travail. Leur épuisement s’accroît et ceci constitue un frein à l’installation.
Ceci n’est pas une fatalité et des solutions existent pour soulager les médecins
Les dépenses de gestion peuvent ainsi être adaptées à leur besoin et leur fardeau administratif sensiblement réduit. Ce temps gagné est un temps gagné pour la santé publique. Nous avons besoin de praticiens en bonne santé et épanoui. L’administratif n’est pas la mission du médecin. Confions la à des spécialistes?
